top of page

Modifier sa surface d'atterrissage 

Première expérience : Laché d'un oeuf dans une bassine remplie de 15cm d'eau pour examiner le point de rupture

Le premier des trois axes que nous avons choisi de traiter, est de modifier la surface d'atterrisage. Nous avons donc rempli la bassine précédemment utilisée avec de l'eau. Nous nous sommes servis de 15 cm d'eau de profondeur.

Grégory,

 Masse : 61g

Poids : 0,598 N

Volume : 60mL soit 6E-5 m3

 

Nous avons commencé par lacher l'oeuf de poule à partir de la surface de l'eau, le temps de chute était assez élevé (0.6 secondes contre 0.15 secondes dans l'air). L'oeuf est totalement intact.

Nous augmentons la hauteur de chute jusqu'à 30 cm où il se brise.

Lors d'une chute, tout objet passe par deux phases, la phase d'accélération (il passe d'une vitesse de chute de 0 jusqu'a sa vitesse maximale). Puis la phase constante : il est à sa vitesse maximale, elle ne change pas. A 15cm, la vitesse maximale n'est pas atteinte, donc l'oeuf est en accélération. Jusqu'au changement de milieu (air/eau) où la poussée d'Archimède augmente sur l'oeuf et le ralenti. Cette deuxième partie n'est parfois pas suffisante à la préservation de l'oeuf ( à 40cm par exemple, l'oeuf accélère tellement que même le ralentissement dans l'eau ne suffit pas et l'oeuf casse. Nous voyons que la poussée d'Archimède dans l'eau très proche au poids de l'oeuf. Le ralentissement est donc très grand.

 

© 2023 par RISDON, VIGLINO, REYNAUD

  • b-facebook
  • Twitter Round
  • Instagram Black Round
bottom of page